Bellhena
travaillait essentiellement sur ce que la Tradition appelait le subtil et ce que la
science de pointe appellerait le vibratoire.
A côté des ondes sonores
et lumineuses, dont tout le monde a une claire conscience, nous sommes
traversés par une multitude de vibrations. Nous-mêmes,
sommes des êtres électromagnétiques qui percevons et émettons en
permanence des vibrations. Bien plus, sans l’énergie de nos corps
subtils, notre corps ne serait qu’un assemblage inerte de molécules.
La communication entre
ces enveloppes énergétiques et notre corps de chair se fait
essentiellement par sept centres que
l’Inde appelle chakras, ce qui signifie roue
en sanscrit. Ils sont alignés de la base de la colonne vertébrale au
sommet du crâne et ont une action
directrice permanente sur nos glandes endocrines, celles qui
régulent l’ensemble de notre activité physiologique.
Ce sont des points
où, à notre insu, se croisent les axes
vibratoires porteurs des mémoires de notre vécu. Ces mémoires, quand elles résultent de peurs ou de
conflits traumatisants, bloquent notre activité énergétique interne.
L’harmonisation que Bellhena pratiquait, visait à nettoyer ces
mémoires, dont la rémanence n’est pas
seulement psychique mais physique, ainsi
qu’à rétablir et accroître ces courants énergétiques sans lesquels nous
sommes dépossédés de notre force intérieure.
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